« Et les à tort ou à raisonce qui muredans la mortdes mursdes prisonniersdisparaître la prisonhommesrenaît la vie sont souvent dans l’impossibilité de rien faire, prisonniers dans je ne sais quelle cage horrible horrible, très horrible. Il y a aussi, je le sais, la délivrance, la délivrance tardive. Une réputation gâtée à tort ou à raisonce qui muredans la mortdes mursdes prisonniersdisparaître la prisonhommesrenaît la vie, la gêne, la fatalité des circonstances, le malheur, cela fait à tort ou à raisonce qui muredans la mortdes mursdes prisonniersdisparaître la prisonhommesrenaît la vie.
On ne saurait toujours dire ce que c’est qui enferme, à tort ou à raisonce qui muredans la mortdes mursdes prisonniersdisparaître la prisonhommesrenaît la vie, ce qui semble enterrer, mais on sent pourtant je ne sais quelles barres, je ne sais quelles grilles – à tort ou à raisonce qui muredans la mortdes mursdes prisonniersdisparaître la prisonhommesrenaît la vie.
Tout cela est-ce imaginaire, fantaisie. Je ne le pense pas ; et puis on se demande, Mon Dieu est-ce pour longtemps, est-ce pour toujours, est-ce pour l’éternité.
Sais-tu, ce qui fait à tort ou à raisonce qui muredans la mortdes mursdes prisonniersdisparaître la prisonhommesrenaît la vie c’est toute affection profonde, sérieuse. Etre amis, être frères, aimer, cela ouvre la prison par une puissance souveraine, par un charme très puissant. Celui qui n’a pas cela demeure à tort ou à raisonce qui muredans la mortdes mursdes prisonniersdisparaître la prisonhommesrenaît la vie. Mais là où la sympathie renaît, à tort ou à raisonce qui muredans la mortdes mursdes prisonniersdisparaître la prisonhommesrenaît la vie. »

Vincent Van Gogh
Dessin de Gustave Doré, gravure sur bois d'Héliodore Pisan.