FRANS LEREN (9)

 

À Charles Baudelaire, dans
« Léo Ferré chante Baudelaire »

À Charles Baudelaire, dans « Léo Ferré chante Baudelaire » (1967). Vivienne Stringa Si je vous disais “ tu ”, on me prendrait pour qui ? On dirait : “Celui-là, il se perche là-haut, dans les nuées, avec ses ailes d'albatros qui donnerait plutôt vers le corbeau ...” Si je te disais “ vous ”, tu deviendrais encore plus froid dans ta dernière terre et tu m'appellerais : Léo !
Viens, allons voir les putes du Boulevard Edgard Quinet, ce n'est pas loin de chez moi, deux pas, allons même au “ Monocle ”, cette boîte où celles qui “ sont trop

  
 

Les Arts et le commerce
Gustave Flaubert

Les Arts et le commerce Gustave Flaubert. Vivienne Stringa La futilité des arts et l’utilité du commerce sont devenus mots banals dans le monde. Bien des gens n’estiment, en effet, une étoffe qu’à la longueur, une chose qu’à son poids et une couleur qu’à son éclat, et font plus de cas en eux-mêmes d’une balle de coton que de toutes les tragédies possibles ; ils diraient bien comme Malebranche en voyant Athalie : “ Qu’est-ce que cela prouve ? ” Ceux-là ne voient, en effet,

  
 

Auguste Rodin Testament

 Elsa Triolet: les Manigances . Vivienne Stringa. Frans leren Jeunes gens qui voulez être les officiants de la Beauté, peut-être vous plaira-t-il de trouver ici le résumé d'une longue expérience. Aimez dévotement les maîtres qui vous précédèrent. Inclinez-vous devant Phidias et devant Michel-Ange. Admirez la divine sérénité de l’un, la farouche angoisse de l’autre. L’admiration est un vin généreux pour les nobles esprits et jamais ils n’ont menti.

  
    
Frans Leren à la française, (9)Vivienne Stringa, VERTALINGEN, BOEKEN VAN FRANSE AUTEURS